Végétalisme, végétarisme, mono-diète, jeûne thérapeutique...
Que cherche-t-on à nous dire vraiment?
On est parfois pris dans un phénomène de mode, embarqué dans un monde d'hormones qui nous dit que c'en est assez de tous ces plats de viande qui vont finir par nous faire exploser de l'intérieur.
Alors parfois on se dit qu'il faudrait peut-être davantage rentrer dans ce moule informe et commencer nous aussi à s'y adapter réellement.
Après tout cela a plutôt l'air commode de ne plus aller acheter de la viande, du poisson ou des crustacés qui ont eu bien plus de mal que nous à vivre aussi peu de choses avant de finir dans notre assiette.
Et puis par d'autres moments, on se dit que c'est bien plus appétissant toute cette nourriture si riche qu'on nous propose partout et qu'on met sur un piédestal en décernant des étoiles aux plus grands chefs restaurateurs.
Alors on cherche quoi finalement quand on se détourne d'un certains nombres d'aliments bâtisseurs? Car les protéines présentes dans la viande sont également source de bon catalyseur dans notre corps.
Et que va-t-il nous arriver de bien plus difficile encore qu'en fait se satisfaire dune assiette de légumes crus ou mi-cuits arrosés d'un filet d'huile d'olive vierge servis avec des graines?
On ne sait plus vraiment qui suivre. Ceux qui prônent pour le naturel le cru, le végétalisme, le sans viande mais avec du poisson tout de même, et qui finalement décident que manger du chocolat pur cacao à outrance accompagné de bonbons sans gélatine d'origine animal peut également faire du bien à leur organisme?
On entend et on lit de tout sur les réseaux sociaux et aussi sur les grandes chaines car chacun informe l'autre de ce qu'il vit et de ce qu'il ressent comme besoin à un moment T de son existence.
Alors que faut-il en déduire de toutes ces informations que l'on nous distille?
Selon moi que chacun doit faire avec ses envies et ressentir au plus profond de lui ses vrais besoins car c'est vrai qu'on a tous eu un capital énergétique à la naissance qu'on doit gérer au mieux au fil de notre existence. Et que ce qui va à l'un, un beau matin d'avril ne correspondra pas forcément à celui qui demain ne désirera plus cuisiner à l'huile d'olive en lui préférant l'huile de colza.
On peut tous se mettre à étudier les interactions chimiques et aussi les alliances des goûts et des aliments mais on a surtout intérêt à écouter ce que notre corps a à nous dire car lui seul sait vraiment ce qui est bon pour nous de mettre dans notre assiette au quotidien.